epi.proteos.info - Mot-clé - Bilan Sarko Ier - Commentaires2024-01-29T18:04:47+01:00urn:md5:b4142a9e03055f816529678847e1d39eDotclearSarkozy ou le mandat de la marmotte - Estelleurn:md5:ed5020aeccb5668144707f8e832a71bb2015-03-02T20:51:38+01:002015-03-02T20:51:38+01:00Estelle<p>Je ne saurais mieux dire.</p>Pourquoi je ne voterai pas pour Nicolas Sarkozy - Proteosurn:md5:704794378e8ab78b0d2a17b8266af2242012-04-05T23:39:30+02:002012-04-05T22:39:30+02:00Proteos<p>Je serai moins sévère que vous sur le conseil constitutionnel. En effet, il n'y connaît <a href="http://expeconomics.blogspot.fr/2009/12/contribution-carbone-conseil.html" rel="nofollow">rien</a> en matière économique, mais l'argument qu'il faille que tout le monde paie un peu a un peu de poids. Mais avec la décision qu'ils ont prise, la taxe carbone peut revenir en 2013: ce n'est peut-être que partie remise.</p>
<p>Quant aux objectifs contraires aux actes, ça va plus loin que la simple myopie et de la préférence pour le loisir. La désinformation a un plus grand rôle, mais le problème est aussi l'idéologie des intervenants qui mène au résultat inverse à celui souhaité, associé à un refus de voir la réalité. Et ce n'est pas limité aux écolos: si le gouvernement avait voulu des OGMs, il aurait pu les laisser se développer et pourchasser les vandales. Mais non.</p>Pourquoi je ne voterai pas pour Nicolas Sarkozy - HollyDaysurn:md5:258e079f28d043cf78dabc8880ea7c6b2012-04-05T12:29:19+02:002012-04-05T11:29:19+02:00HollyDays<p>«<em>Qu'ils le veuillent ou non, les chercheurs sont en compétition entre eux et avec d'autres domaines pour l'obtention de fonds publics limités. Ce qu'il faut faire c'est mettre en place des critères les moins idiots possibles. Si elles le veulent vraiment, les universités peuvent coopérer entre elles, je ne pense pas qu'on le leur interdise: il ne tiendrait qu'aux gens à la base à s'organiser dans ce sens pour présenter des dossiers clefs en mains, surtout dans les domaines où ils se connaissent.</em>»</p>
<p>Ben justement, les critères se révèlent inadaptés. Par exemple, ils sont très orientés applications assez proches (dans le temps), ce qui fait que par exemple, les labos, pour pouvoir financer un projet dont ils savent qu'il ne pourra pas durer moins de 5 ou 6 ans, sont aujourd'hui obligés de construire un dossier sur un (voire plusieurs !) projet déjà très avancé et proche de l'aboutissement, sachant pertinemment que le projet bien avancé n'a pas besoin de cet argent, et que celui-ci va en fait servir à financer le nouveau projet à peine démarré, pour lequel on ne sait pas encore quelles applications on trouvera à l'avenir, et donc, dont on sait d'avance que le financement serait refusé, parce qu'il ne rentre pas assez bien dans les cases. (Du coup, c'est malhonnête, car on ment au bailleur de fonds !)</p>
<p>Ensuite, ces critères montrent clairement que le politique cherche systématiquement à contrôler l'orientation de la recherche, plus encore que l'enveloppe de son financement. Or l'expérience a montré à d'innombrables reprises que les résultats de projets dans des secteurs a priori peu porteurs se sont révélés absolument indispensables pour mener à bien d'autres projets dans des secteurs bien plus porteurs (ou ont eu des applications inattendues et extrêmement utiles à la société). Ainsi fonctionne la recherche. Il serait bien plus efficace d'attribuer des enveloppes globales à la recherche publique et de laisser celle-ci les gérer en se contentant de faire des contrôles a posteriori, que de contrôler à ce point la manière dont chaque euro sera dépensé (au passage, toutes ces procédures administratives de contrôle, cela consomme aussi beaucoup d'argent, qui ne sert pas à financer aucun projet proprement dit, mais qui est quand même compté dans le budget de recherche !)</p>
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«<em>Pour ce qui est du Grenelle de l'Environnement et des directions "développement durable"</em>»</p>
<p>Sur l'aspect légal et réglementaire, je suis d'accord avec vous. Le résultat est plutôt mince. Si une taxe carbone progressive dans le temps avait été instituée, ou si un programme massif d'isolation du bâti ancien avait été enclenché, on aurait pu considérer que, tous comptes faits, le quinquennat n'avait pas été totalement perdu. Mais à la décharge de Sarkozy sur la question de la taxe carbone, le PS et les écolos ont été d'une irresponsabilité monstrueuse, et le Conseil d’État politicard comme on l'a rarement vu (les raisons qu'il a invoquées pour la retoquer ne tenant pas 2 secondes à l'analyse). Quant à la question de l'isolation, le gouvernement a choisi la facilité en se focalisant sur le bâti nouveau alors que de telles mesures ne concernent qu'une toute petite partie du bâti (ah, la tyrannie de la visibilité des décisions !).</p>
<p>Sur l'aspect des entreprises, comme je le disais précédemment, c'est un mouvement largement invisible, et pourtant indispensable. Beaucoup plus d'entreprises qu'on ne le croit sont prêtes à un changement d'ampleur sur ces questions, même si pour l'instant, elles doivent toujours fonctionner avec les règles en vigueur, ce qui, au demeurant, ouvre la porte à nombre de comportements schizophrènes, ou, au mieux, à une contradiction flagrante entre les discours et certains actes (ce qui nous ramène à l'impact très fort du cadre légal, comme vous dites, qui, seul, sera à même de réduire ces grands écarts).</p>
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«<em>Ce qui me pose réellement problème, ce sont les objectifs poudre aux yeux qu'on s'est fixés tout en faisant tout pour qu'ils ne se réalisent pas.</em>»</p>
<p>C'est l'autre face de la démocratie d'opinion. Comme la population veut un peu de vert mais pas trop (en fait, pas à une échelle à partir de laquelle ça pourrait commencer à compter), nos dirigeants ont tendance à faire la même chose. Tocqueville l'écrivait déjà il y a 170 ans : le système démocratique a tendance à rendre myope, et à faire privilégier le confort et les plaisirs de court terme à la résolution de problèmes de long terme ; et il a tendance à faire privilégier les résultats faciles et immédiats à la réflexion lente et profonde.</p>
<p>Les journalistes grand public ont aussi leur part de responsabilité. Ainsi, par exemple, ils ont eux aussi descendu la taxe carbone sans informer correctement sur cette question (je me suis fait une revue de presse le jour où le projet du gouvernement est sorti, la mal-information voire la désinformation que j'y ai trouvée était impressionnante !) ; ils persistent à résumer la question de l'énergie à celle du nucléaire (alors que l'énergie est derrière <strong><em>tous</em></strong> les circuits économiques, et aussi que l'énergie ne se résume pas à l'électricité, loin s'en faut) ; ils persistent à ignorer les questions de pic pétrolier (et lorsque des gens informés et reconnus pour leur expertise du domaine essaient d'informer le grand public, ils se font barrer la route par la presse, cf. par exemple la tribune récente de Pierre-René Bauquis, Yves Cochet, Jean-Marc Jancovici, Jean Laherrère, Yves Mathieu sur <a href="http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/03/22/mobiliser-la-societe-face-au-pic-petrolier_1673496_3232.html" title="http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/03/22/mobiliser-la-societe-face-au-pic-petrolier_1673496_3232.html" rel="nofollow">http://www.lemonde.fr/idees/article...</a> que la rédaction du Monde a refusé de publier dans le journal papier, au motif que ce sujet «n'est pas au cœur de l'actualité»...) ; etc.</p>Pourquoi je ne voterai pas pour Nicolas Sarkozy - Proteosurn:md5:e426268e108b920e3db7c1c995e22b9c2012-04-04T19:36:48+02:002012-04-04T18:36:48+02:00Proteos<p>Hollydays,<br />
Tout d'abord, j'ai forcément oublié plein de choses qui se sont passées ces 5 dernières années.</p>
<p>L'indépendance des universités ce n'est pas que de la concurrence. C'est aussi faire en sorte qu'elles puissent avoir plus de liberté dans leur offre de formations ... ce qui peut aussi leur apporter des financements. Actuellement, bon nombre de lycée offrent des formations continues financées entièrement par des associations professionnelles qui sont très heureuses de trouver là un moyen de former des salariés. C'est une pompe à finances pour ces établissements et permet de financer des achats divers, mis sur le compte de ces formations, mais qui servent à tout le monde. Ça me semble particulièrement important en France, où une bonne part de la recherche a lieu ailleurs que dans les universités.</p>
<p>La concurrence est aussi un fait qui apparaît automatiquement dès qu'il y a plusieurs universités en France. La concurrence n'a jamais aussi totalement exclu la coopération: des entreprises peuvent coopérer sur certains domaines mais se faire concurrence ailleurs. Qu'ils le veuillent ou non, les chercheurs sont en compétition entre eux et avec d'autres domaines pour l'obtention de fonds publics limités. Ce qu'il faut faire c'est mettre en place des critères les moins idiots possibles. Si elles le veulent vraiment, les universités peuvent coopérer entre elles, je ne pense pas qu'on le leur interdise: il ne tiendrait qu'aux gens à la base à s'organiser dans ce sens pour présenter des dossiers clefs en mains, surtout dans les domaines où ils se connaissent. Je pense que c'est possible à partir du moment où il y a une certaine indépendance institutionnelle et une volonté de trouver des accords de la part des profs et des chercheurs.</p>
<p>Pour ce qui est du Grenelle de l'Environnement et des directions "développement durable", il y a 2 aspects. Le premier: quels résultats? Quand on voit qqn comme Fatih Birol de l'AIE dire qu'il ne voit aucune entreprise ne changer de comportement suite aux négociations internationales, il faut bien se dire que le cadre légal a un impact très fort en effet. Mais par exemple, les tarifs de rachats de l'électricité ont été actés il me semble à la fin du quinquennat de Chirac. Le 2e point c'est que le prix des matières premières a beaucoup augmenté en 10 ans, c'est devenu un véritable enjeu de les économiser dans l'industrie. Bref, je me demande si le Grenelle est pour qqch dans tout cela. Et puis les grands groupes sont aussi les premiers à aller investir dans les pays émergents, en partie à cause des réglementations plus laxistes là-bas.</p>
<p>Ce qui me pose réellement problème, ce sont les objectifs poudre aux yeux qu'on s'est fixés tout en faisant tout pour qu'ils ne se réalisent pas. On détruit des barrages mais on veut plus d'hydroélectricité. On veut moins de pesticides mais on interdit le MON810 et les OGMs en général, etc.</p>Pourquoi je ne voterai pas pour Nicolas Sarkozy - HollyDaysurn:md5:0a34d27db23dd47648dd345dafdeac6d2012-04-04T16:27:51+02:002012-04-04T15:27:51+02:00HollyDays<p>Je partage à peu près toutes les remarques sauf deux :</p>
<p><strong>1.</strong> «<em>on peut mettre à son crédit la réforme des universités: l'autonomie qu'il donne va conduire à des résultats divers, mais généralement favorables.</em>»</p>
<p>Ce n'est pas du tout, mais alors pas du tout ce que dit le milieu universitaire, qui dénonce au contraire des réformes qui pose en principes :</p>
<p>-> la concurrence là où le système a avant tout besoin de coopération : quiconque connait un minimum la manière dont fonctionne la recherche sait que la coopération entre labos est au moins aussi importante que la compétition. Toutes deux n'interviennent pas au même moment du processus de recherche, et privilégier l'une dans les phases où l'autre est plus efficace est contre-productif, et c'est pourtant ce que les réformes récentes mettent en place.</p>
<p>-> un utilitarisme à tout crin là où il aurait besoin d'un mix équilibré entre recherche fondamentale et recherche appliquée (le pire, c'est que pour exister, la seconde a besoin de la première !). La présentation toute récente de Tara Océans par Oceanomics, totalement orientée promesses d'applications futures et occultant totalement le volet connaissances du projet (pourtant très important), en est un exemple symptomatique.</p>
<p><strong>2.</strong> <em>Le Grenelle de l'environnement</em>.</p>
<p>Que du point de vue des journalistes ou des écologistes politiques, ce processus puisse finalement apparaître comme un échec, je peux le comprendre. Les décisions que ce gouvernement a prises ou même proposées suite au Grenelle (à part peut-être feu la taxe carbone) n'ont jamais été à la hauteur de l'enjeu.</p>
<p>Mais ce que ces commentateurs et autres faiseurs d'opinion semblent ignorer, c'est que ce processus a lancé une vague de fond dans les entreprises sur le sujet. Aujourd'hui, il n'existe pas d'entreprise un tant soit peu importante qui n'ait sa direction du développement durable, située au même niveau hiérarchique que, par exemple, la direction des systèmes informatiques ou des ressources humaines, et au sein de laquelle on discute concrètement des questions d'impact carbone, de volumes de déchets, de consommation d'énergie et de ressources. C'est certes une conséquence que n'attendaient sans doute pas les initiateurs du Grenelle de l'environnement, mais c'en est une conséquence directe malgré tout. Et comme toutes ces questions sont des questions de fond qui ne peuvent se résoudre en deux temps, trois mouvements, que le Grenelle ait suscité ce mouvement ne peut qu'être apporté au crédit de ses initiateurs.</p>
<p>Pour terminer sur un <strong>3ème point</strong>, il me semble qu'il manque quelque chose à la liste que propose ce billet : la <em>réforme de la formation des enseignants</em> appelée «mastérisation».</p>
<p>Même si elle partait d'un principe qui semblait assez généreux, elle s'est révélée être une véritable catastrophe, non seulement du fait de la manière dont elle a été mise en œuvre, mais même du fait de son principe (en l'occurrence, obliger les candidats à faire 2 années d'études supérieures valorisables uniquement dans le secteur éducatif, avec le risque d'être retoqué de ce secteur par le concours d'entrée que l'on passe en fin de cursus, le tout pour un salaire futur très inférieur aux emplois proposés à qualification équivalente dans le secteur privé).</p>
<p>Le nombre de candidats aux concours d'entrée s'est littéralement effondré suite à cette réforme, au point d'être devenu inférieur aux besoins de renouvellement de postes dans certaines matières, par exemple en mathématiques ou en sciences physiques (et ce, malgré le non remplacement d'un départ à la retraite sur deux !) Quant aux jeunes reçus, à peu près tous dénoncent leur absence quasi totale de formation et leur désemparement face à la fois aux objectifs exigeants que l'administration leur fixe et à un public objectivement difficile. Or c'est de la formation initiale (collège et lycée) de tous nos enfants dont nous parlons ici...</p>La réforme de la constitution de 2008 - HollyDaysurn:md5:068491a66b827decd6fcc185d92cb9f72012-04-04T15:35:36+02:002012-04-04T14:35:36+02:00HollyDays<p>A votre décharge, un certain nombre de blogs juridiques utilisent toujours le mot "préalable", parce que jusqu'à la loi organique du 10 décembre 2009, l'appellation de la QPC n'était pas encore bien définie, et la polémique sur le caractère préalable ou non de la saisine a apparemment duré plus d'un an.</p>
<p>cf. article Wikipédia sur la QPC : <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Question_prioritaire_de_constitutionnalit%C3%A9#Question_prioritaire_de_constitutionnalit.C3.A9_et_contr.C3.B4le_a_priori" title="http://fr.wikipedia.org/wiki/Question_prioritaire_de_constitutionnalit%C3%A9#Question_prioritaire_de_constitutionnalit.C3.A9_et_contr.C3.B4le_a_priori" rel="nofollow">http://fr.wikipedia.org/wiki/Questi...</a></p>Pourquoi je ne voterai pas pour Nicolas Sarkozy - Proteosurn:md5:876c49c3fe966257aa1d0b95e388fa472012-04-01T20:26:29+02:002012-04-01T19:26:29+02:00Proteos<p>Ce matin, sur France Culture, <a href="http://www.franceculture.fr/emission-l-esprit-public-l-esprit-public-2012-04-01-0" rel="nofollow">dans l'esprit public</a>, Sylvie Kauffmann du <em>Monde</em> a dit qu'une étude du CEVIPOF prévoyait une abstention inhabituelle parmi les "classes moyennes supérieures" pour cause d'offre insatisfaisante. Je dois dire que ça ne m'étonne pas, c'est l'aboutissement d'un long processus d'insatisfaction chez des gens informés mais sans allégeance partisane produit par des discours n'ayant aucun égard pour les faits.</p>
<p>Un fait saillant de cette élection présidentielle, c'est qu'il n'y a plus vraiment une trace de libéralisme chez aucun candidat. Non que ce courant ait jamais eu un grand succès récemment en France, mais c'est significatif.</p>Pourquoi je ne voterai pas pour Nicolas Sarkozy - verelurn:md5:fdb0da9661c3520d2dbd8876dc73a5a72012-04-01T12:08:06+02:002012-04-01T11:08:06+02:00verel<p>Je partage à peu près toutes les remarques<br />
Le problème est que notion de bilan mise à part (ce qui n'est pas rien), on se retrouve à n'avoir sérieusement envie de voter pour personne</p>La réforme de la constitution de 2008 - Proteosurn:md5:60f8211215f3aeb6f91bb0b05bb9bc4a2012-03-29T21:03:03+02:002012-03-29T20:03:03+02:00Proteos<p>J'ai corrigé ça... C'est vrai que ça ne fait pas très sérieux.</p>La réforme de la constitution de 2008 - HollyDaysurn:md5:a6d2e6307278228b727a9816f233aeb42012-03-29T18:33:33+02:002012-03-29T17:33:33+02:00HollyDays<p>Excellent billet, pour (ne pas) changer.</p>
<p>A noter que dans la loi, la QPC signifie <em>Question <strong>prioritaire</strong> de constitutionnalité</em>, et non <em>préalable</em>.<br />
cf. par exemple <a href="http://www.conseil-constitutionnel.fr/conseil-constitutionnel/francais/la-question-prioritaire-de-constitutionnalite/12-questions-pour-commencer.47107.html#1" title="http://www.conseil-constitutionnel.fr/conseil-constitutionnel/francais/la-question-prioritaire-de-constitutionnalite/12-questions-pour-commencer.47107.html#1" rel="nofollow">http://www.conseil-constitutionnel....</a> pour une présentation de la QPC à destination du citoyen lambda, et <a href="http://www.conseil-constitutionnel.fr/conseil-constitutionnel/root/bank_mm/textes/loi_organique_qpc.pdf" title="http://www.conseil-constitutionnel.fr/conseil-constitutionnel/root/bank_mm/textes/loi_organique_qpc.pdf" rel="nofollow">http://www.conseil-constitutionnel....</a> pour la loi organique in extenso qui définit la QPC. L'article 61-1 de la Constitution qui crée la QPC ne lui donne pas de nom.</p>Sarkozy et les libertés publiques - Proteosurn:md5:2e2e40ef30ffcf0b9d1e6d638a4777f42012-03-07T22:02:58+01:002012-03-07T22:02:58+01:00Proteos<p>Exact.<br />
Si j'ai le temps et l'envie peut-être que j'écrirai quelque chose à propos de la réforme constitutionnelle qu'il a fait passer. Après tout, c'est un des changements importants qu'il a fait acter.</p>Sarkozy et les libertés publiques - verelurn:md5:e7945cf1cfce747c04888e70ee150d862012-03-07T20:43:23+01:002012-03-07T20:43:23+01:00verel<p>Sur les libertés publiques il faut rendre à Sarkozy la mise en place de la QPC (question préalable de constitutionnalité)</p>